Il y a quelques jours, Nieves était inquiète. Aujourd’hui, elle a peur. La jeune Camerounaise n’ose plus sortir de l’appartement qu’elle loue depuis deux ans avec son cousin, étudiant en marketing inscrit dans un établissement privé tunisien. Tous deux sont tétanisés en évoquant le déchaînement, depuis quelques semaines, des réseaux sociaux contre les migrants subsahariens.
Des migrants subsahariens en détresse, à Tunis, le 18 février 2023. © Yassine Mahjoub/Shutterstock/Sipa
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique
À lire aussi
- Moncef Marzouki : « Kaïs Saïed est une catastrophe ambulante »
- Rétropédalage de la Tunisie, qui annonce des mesures d’aide aux résidents étrangers
- Les premiers Guinéens rapatriés de Tunis arrivent à Conakry
- En Tunisie, des Subsahariens sur leurs gardes et désireux de quitter le pays
- L’Union africaine condamne les déclarations « choquantes » de Kaïs Saïed sur les migrants
- L’insoutenable sortie de route de Kaïs Saïed
- En Tunisie, des ONG dénoncent un « discours haineux » contre les migrants africains
- Racisme : au Maghreb, les Noirs sont-ils des citoyens comme les autres ?
- Etre noire en Tunisie
