Depuis son arrivée au pouvoir, le 2 octobre, jamais le capitaine Ibrahim Traoré n’avait été confronté à une telle crise. Le 17 février, au moins 51 militaires – selon un bilan toujours provisoire – ont été tués dans une embuscade entre Déou et Oursi, dans le nord du Burkina Faso. Trois jours plus tard, une autre attaque, cette fois à Tin Akoff, toujours dans le Nord, coûtait la vie à 19 autres soldats.

Lors du conseil des ministres du 15 février, le gouvernement burkinabè a approuvé la création de 4 000 postes d’agents des Eaux et Forêts. © Présidence du Faso
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