Zakaria Fahim : « Dans les grands groupes marocains, la transmission demeure un sujet tabou »

Spécialiste en transmission des entreprises familiales, le président de BDO Maroc analyse pour Jeune Afrique la manière dont les grands patrons du royaume abordent la question de leur succession. Un sujet encore considéré comme sensible.

Zakaria Fahim, président de BDO Maroc. © Montage JA ; DR

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Publié le 18 mars 2023 Lecture : 3 minutes.

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[Série] Succession à la marocaine

Akhannouch, Bensalah, Lamrani, Zniber, Chaâbi… Dans la plupart des grands groupes familiaux du royaume, les enjeux de succession font l’objet de stratégies aussi discrètes que sensibles.

Sommaire

SUCCESSION À LA MAROCAINE (3/3) – À l’image de 90 % des entreprises au Maroc, les plus grands groupes nationaux sont familiaux. Leur survie est intimement liée aux modes de succession. De plus en plus conscients du caractère indispensable de la démarche, les patriarches qui les dirigent actuellement préparent leur descendance à prendre à la relève. Non sans difficultés, les freins étant encore nombreux.

Jeune Afrique : Les grands groupes marocains ont-ils conscience de la nécessité d’organiser en amont leur plan de succession ?

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