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De gauche à droite : Abdelkader et Mohamed Hassan Bensalah ; Othman Benjelloun ; Kamal et Dounia Benjelloun ; Brahim et Rita Zniber ; Karim et Saida Lamrani. © Montage JA ; Mohamed Jannat/Holmarcom ; Hassan Ouazzani pour JA ; Diana Holding ; Abdelhak Senna ; Thierry Campion/GAMMA RAPHO ; DR

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[Série] Succession à la marocaine

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Économie

Zakaria Fahim : « Dans les grands groupes marocains, la transmission demeure un sujet tabou »

Spécialiste en transmission des entreprises familiales, le président de BDO Maroc analyse pour Jeune Afrique la manière dont les grands patrons du royaume abordent la question de leur succession. Un sujet encore considéré comme sensible.

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Mis à jour le 20 mars 2023 à 20:06

Zakaria Fahim, président de BDO Maroc. © Montage JA ; DR

SUCCESSION À LA MAROCAINE (3/3) – À l’image de 90 % des entreprises au Maroc, les plus grands groupes nationaux sont familiaux. Leur survie est intimement liée aux modes de succession. De plus en plus conscients du caractère indispensable de la démarche, les patriarches qui les dirigent actuellement préparent leur descendance à prendre à la relève. Non sans difficultés, les freins étant encore nombreux.

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