Il faut imaginer à quoi ressemblait ce fétiche dans la cour du vieux Kouamé Kouadio. Un monticule semblable à un volcan miniature, une construction entièrement cimentée, sous laquelle se cachait un canari en terre cuite, un récipient servant initialement à rafraîchir l’eau. Il ne faisait guère plus d’un mètre de circonférence, selon certains témoignages. C’est dans cette poterie que les services sanitaires ivoiriens ont découvert, au début de février, ce qui pourrait expliquer l’inimaginable tragédie qui s’est abattue sur le village de Kpo-Kahankro.

Dans les rues de Kpo-Kahankro, le 10 février 2023. © Issouf Sanogo/AFP
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