ÉDITORIAL – S’inquiéter pour le plus vaste pays d’Afrique, 45 millions d’habitants, quatrième PIB, qui dispose du gaz et du pétrole dont le monde entier a aujourd’hui besoin, de l’une des armées les plus puissantes du continent et d’infrastructures que beaucoup lui envient ? Voilà qui peut paraître incongru. Et nul doute que nos amis algériens, réputés ombrageux, en particulier les dirigeants politiques et militaires, ne vont pas apprécier… A fortiori quand la manne des hydrocarbures coule de nouveau à flots ; 60 milliards de dollars de réserves de change dans les caisses, ça change la vie d’un État sorti exsangue de la crise du Covid. Et pourtant, il y a vraiment lieu d’être préoccupé par le destin d’« El Djazaïr ».

JAD20221215-EDITO-MARWANE-BEN-YAHMED
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