Depuis sa signature en 2015, jamais l’accord de paix d’Alger, qui a mis fin à la rébellion à dominante touarègue du nord du Mali, n’a semblé si menacé. Voilà des mois que la principale coalition de groupes armés signataires, réunis au sein de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), et les autorités de Bamako se regardent en chiens de faïence.

© MONTAGE JA : OUSMANE MAKAVELI/AFP ; AHMED OUOBA/AFP
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