Du premier quinquennat Talon les Béninois gardent un goût amer d’austérité, avec l’obligation de devoir « se serrer la ceinture » au nom de réformes menées tambour battant. Des réformes dont le coût social, certes assumé, reste « énorme » selon l’opposition. Cette dernière déplore le revers de la médaille, sur le plan humain, des performances économiques du pays, et va jusqu’à accuser Patrice Talon d’être purement et simplement hostile aux mesures sociales.

Au centre de santé de Cadjèhoun, à Cotonou. © Yanick Folly/AFP
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