Le 27 janvier dernier, à 12h30, une camionnette de l’entreprise espagnole Almacenes Bentolila franchit le contrôle douanier à la frontière de Tarajal (Ceuta) avec des produits d’hygiène personnelle. Une demi-heure plus tard, à 224 km de là, un fourgon transportant de l’aluminium traverse le poste frontière de Beni Enzar. Deux expéditions commerciales qui auraient pu passer inaperçues si elles n’étaient pas le signe du déblocage d’une situation intenable qui dure depuis quatre ans.

Poste frontière de Fnideq, entre le Maroc et Ceuta. © FADEL SENNA/AFP
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique