Après qu’Assimi Goïta en a claqué la porte, le 15 mai 2022, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a mené un lobbying discret pour ressusciter le G5 Sahel. D’abord en plaidant – en vain – pour réunir ses pairs à Nouakchott et tenter d’aplanir leurs différends, ensuite en s’assurant qu’un successeur au Tchadien 700 !important">Mahamat Idriss Déby Itno soit désigné. Selon les statuts de l’organisation, c’est le Nigérien Mohamed Bazoum qui devait prendre la présidence tournante. Mais, face au départ fracassant du Mali, il a été décidé de déroger à cette règle.

La président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, ici à l’aéroport de Ouagadougou, le 13 septembre 2019. © ISSOUF SANOGO/AFP
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