LE JOUR OÙ – Ce dimanche 23 janvier 2022, j’étais à mon domicile, à Ouaga 2000 [un quartier de Ouagadougou], quand des premiers tirs de mutins ont résonné à l’aube au camp Sangoulé Lamizana. J’ai rejoint le chef de l’État, Roch Marc Christian Kaboré, dans la villa ministérielle dans laquelle il avait l’habitude de travailler ou de recevoir ses hôtes quand il n’était pas au palais présidentiel de Kosyam, située à quelques centaines de mètres de chez moi.

La Une du journal L’Observateur le 25 janvier 2022 après le putsch de Paul-Henri Sandaogo Damiba à Ouagadougou. © OLYMPIA DE MAISMONT/AFP.
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique