« Un repris de justice et un récidiviste », « un corrompu et un malade d’argent ». En Israël, lorsqu’il s’agit de brosser le portrait d’Arié Dery, politiciens et éditorialistes, à gauche comme à droite, ne mâchent pas leurs mots. Pour les tenants de la moralisation de la vie politique, Dery est un cas d’école et le dernier épisode en date de son déjà long parcours politique l’illustre bien.

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à côté du ministre de l’Intérieur et de la Santé Arié Dery à Jérusalem, le 8 janvier 2023. © RONEN ZVULUN / POOL / AFP
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