Depuis plusieurs semaines, le Parlement européen est secoué par une affaire de corruption interne attribuée au Qatar. Mais, après l’État émirati, les regards sont à présent portés vers le Maroc, soupçonné d’avoir influencé les positions et votes de plusieurs parlementaires européens dans différents dossiers, notamment celui du Sahara.
La genèse du scandale remonte au 9 décembre, lorsque la présidente du Parlement européen, la socialiste Eva Kaili, est mise en cause dans une affaire de corruption impliquant le Qatar.