« Il est libre, c’est confirmé », affirme Paul Kéré, l’avocat d’Emmanuel Zoungrana, ce 15 décembre. Alors que la demande de remise en liberté provisoire du lieutenant-colonel avait été refusée en première instance, la chambre de contrôle de l’instruction vient de donner raison à la défense. « Elle a estimé que onze mois de détention provisoire était une durée excessive, d’autant que l’instruction est close », précise l’avocat.

Emmanuel Zoungrana avait été arrêté le 10 janvier. © DR.