À peine Patrick Lawson, premier vice-président et cofondateur de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), inhumé, la fronde a gagné les rangs du parti. Le 11 décembre, sept de ses membres – dont Tévi Nathaniel Lawson, autre figure du mouvement, et des ex-responsables de la fédération internationale Europe-Asie – ont exigé la démission de Jean-Pierre Fabre et de l’ensemble du bureau national.

L’opposant togolais Jean-Pierre Fabre (ici en février 2020) n’a récolté que 4,68 % des suffrages lors de la dernière présidentielle, en 2020. © PIUS UTOMI EKPEI/AFP.