Maroc : l’affaire Meriem relance le débat sur l’avortement

La mort d’une adolescente après un avortement clandestin a relancé le débat sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG). En ce 28 septembre, journée mondiale pour le droit à l’IVG, de nombreuses manifestations devraient être organisées.

Manifestation contre l’Article 453 qui punit l’avortement, près du Parlement à Rabat, le 25 juin 2019. © AFP

JEANNE-LE-BIHAN_2024

Publié le 28 septembre 2022 Lecture : 5 minutes.

Une adolescente est décédée dans la nuit du 6 au 7 septembre dans la commune rurale de Boumia, à moins de 200 kilomètres, au sud de Fès. Âgée de 15 ans, Meriem tentait de mettre un terme à sa grossesse issue d’un viol. L’avortement a eu lieu au domicile de l’agresseur sexuelSCXW21100263 BCX0">, majeur.  Il était présent, tout comme la mère de la victime, une faiseuse d’anges sage-femme à l’hôpital de Midelt – SCXW21100263 BCX0">et

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

[Tribune] Avortement illégal au Maroc : pourquoi #jesuisHajar

Le droit à l’avortement reste un enjeu majeur de santé en Afrique

Contenus partenaires