Chef d’orchestre des élections controversées de décembre 2018, Corneille Nangaa tente toujours d’obtenir la levée des sanctions que le Trésor américain lui a infligées en mars 2019. Accusé de corruption et d’entrave au processus démocratique, il a vu ses avoirs outre-Atlantique gelés et il lui est interdit d’effectuer des transactions avec toute personne se trouvant sur le sol américain. Ces lourdes sanctions visent aussi son ancien vice-président au sein de la centrale électorale, Norbert Basengezi, ainsi que Marcellin Mukolo, fils de ce dernier et conseiller à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Depuis février 2019, le Département d’État leur interdisait déjà l’accès au territoire américain.

Corneille Nangaa à Kinshasa. © Gwenn Dubourthoumieu pour JA
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