Le conseil consultatif d’Ennahdha n’en mène pas large. Moins à cause d’un hypothétique contrecoup en Tunisie de la destitution de l’Égyptien Mohamed Morsi que des résultats d’un sondage commandé à un institut britannique. À en croire cette enquête, le parti islamiste au pouvoir ne recueillerait que 12 % des intentions de vote aux législatives censées se tenir à la fin de l’année. Remonter la pente sera d’autant plus difficile que, selon une source diplomatique, le Qatar aurait réduit le financement qu’il octroyait au gouvernement tunisien et à Ennahdha.

Rached Ghannouchi, chef historique d’Ennahdha. © Fethi Belaid/AFP
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