Selon nos informations, les assaillants seraient au nombre de 200. Ils seraient venus à moto par binômes depuis le Niger et auraient séjourné non loin du lieu du massacre, avant de passer à l’acte. Les services de sécurité burkinabè pointent des combattants affiliés à l’État islamique au grand Sahara (EIGS), tout en se refusant à confirmer ou infirmer que des arrestations de coupables présumés ont eu lieu dans le cadre de cette affaire.

Paul-Henri Sandaogo Damiba à l’aéroport de Dori, au Burkina Faso, le 15 juin 2022. © BURKINA FASO’S PRESIDENTIAL PRESS SERVICE/Handout via REUTERS.
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique
À lire aussi
- Burkina Faso : un chef local du GSIM neutralisé par l’armée
- Burkina Faso : hélicoptères de combat, redéploiement militaire… Damiba renforce le dispositif sécuritaire
- Mali : les raisons de l’offensive de l’EIGS dans la région de Ménaka
- Sur les traces d’Abou Walid al-Sahraoui, le jihadiste le plus recherché d’Afrique de l’Ouest