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Infrastructures : quand l’Afrique trace sa route
L’anecdote fait rire jaune Akim Daouda, patron du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS). « Nous avions clos la transaction pour le développement d’un barrage, quand le projet a dû être retardé d’un an, le temps que soient menées des études supplémentaires quant à l’impact sur… les algues », a-t il raconté, en juin, à l’occasion de l’Africa CEO Forum (ACF) d’Abidjan. « Ces reports ont un impact dont il faut aussi tenir compte, en ce qui concerne l’accès à l’électricité de nos populations et notre PIB », a ajouté, légèrement exaspéré, le patron du FGIS.