La catastrophe ferroviaire d’Eseka, qui avait fait plus de 70 morts en 2016 et pour laquelle Camrail, une filiale de Bolloré Africa Logistics, a été reconnue coupable d’homicides involontaires, va-t-elle revenir sur le devant de la scène ? Ce 24 mai, plusieurs familles de victimes ont en tout cas dénoncé, dans un courrier que Jeune Afrique a consulté, « l’arrêt [de leur] processus d’indemnisation » par le groupe Bolloré ainsi que celui de certaines négociations toujours en cours avec des familles de disparus.

Des passagers s’échappent du site de l’accident ferroviaire d’Eseka, le 21 octobre 2016, au Cameroun. © AFP.
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