Conformément à la Constitution adoptée en janvier, des élections législatives et présidentielle auraient dû se tenir en Tunisie avant la fin de l’année. Ce ne sera à l’évidence pas le cas. Le débat à propos du code électoral s’enlisant, comme ce fut le cas pour la loi fondamentale, le scrutin ne pourra pas avoir lieu dans le meilleur des cas avant mars 2015. Dans les coulisses de l’Assemblée nationale constituante, certains partis suggèrent de tenir, en attendant, des élections municipales, afin sans doute d’asseoir leur représentation locale. Quoi qu’il en soit, il va d’abord falloir amender la Constitution, sur proposition du président de la République, puis entériner par référendum le report des scrutins législatif et présidentiel.
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