Le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) serait-il dans le viseur des autorités ? Tout semble l’indiquer si l’on en juge par la multiplication des procédures administratives et judiciaires engagées contre cette formation politique de l’opposition. Dernière en date : le placement sous contrôle judiciaire, le 10 janvier, de son président, Mohcine Belabbas, par le juge d’instruction près le tribunal de Hussein Dey, à Alger. Il avait reçu la veille une convocation pour une audition.

Mohcine Belabbas, leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), le 25 septembre 2020, au siège du parti, à Alger. © RYAD KRAMDI/AFP
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique