Mali : comment la France a « neutralisé » Abou Walid al-Sahraoui, émir de l’État islamique

Après plusieurs semaines de rumeurs, Emmanuel Macron a confirmé la mort du chef du groupe État islamique au Grand Sahara (EIGS). Jeune Afrique retrace la traque des forces françaises.

Des soldats français de l’opération Barkhane au Mali, en décembre 2019. © Fred Marie/Art In All Of Us/Corbis via Getty Images

Des soldats français de l’opération Barkhane au Mali, en décembre 2019. © Fred Marie/Art In All Of Us/Corbis via Getty Images

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Publié le 16 septembre 2021 Lecture : 2 minutes.

Désigné par la France comme la cible principale au Sahel depuis le sommet de Pau, en janvier 2020, Adnan Abou Walid al-Sahraoui était traqué nuit et jour par les services de renseignement. Jeudi 16 septembre, Emmanuel Macron a annoncé la « neutralisation » par les forces françaises du chef du groupe jihadiste État islamique au Grand Sahara (EIGS). Le président met ainsi fin aux rumeurs qui, dès août, annonçaient la mort de celui que ses combattants surnommaient « l’Émir ».

Ces derniers semaines, l’étau s’était resserré autour d’al-Sahraoui. Son état-major avait été fragilisé par plusieurs opérations françaises, qui avaient coûté la vie à certains de ses plus proches lieutenants.

Deux hommes à moto

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