
Le professeur Kamel Djenouhat. © Louiza Ammi
En dépit de la reprise des marches du Hirak et de la réouverture des lieux publics, le pays échappe pour le moment à la troisième vague du Covid-19. Les explications du professeur Kamel Djenouhat, président de la Société algérienne d’immunologie.
Cent quarante. C’est le nombre de personnes infectées par le Covid-19 en Algérie pour la seule journée du 6 avril (la moyenne s’est stabilisée autour de 113 nouveaux cas quotidiens depuis une semaine). Loin des milliers, voire des dizaines de milliers, de nouveaux cas déclarés dans un certain nombre de pays européens, le tout en dépit de la reprise des marches hebdomadaires du Hirak, du non-respect généralisé des gestes-barrières et de l’ouverture des espaces de restauration et de loisirs.
Le professeur Kamel Djenouhat, chef du service d’immunologie de l’hôpital de Rouïba, dans la banlieue d’Alger, analyse les raisons pour lesquelles la situation épidémique semble sous contrôle en Algérie.
Jeune Afrique : Comment expliquez-vous que la situation épidémique se stabilise en Algérie ?
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