Ils étaient attendus le 9 mars à 10 heures dans le bureau de Manuel García-Castellón, le juge d’instruction espagnol chargé de l’affaire Villarejo. Mais Cándido Nsue Okomo et son collaborateur Crispín Edu Tomo n’ont pas comparu devant le magistrat de la Cour nationale qui veut les auditionner sur les raisons qui les ont poussés à recourir aux services du commissaire à la retraite José Villarejo.

Constancia Mangue Nsue Okomo, la première dame équato-guinéenne, le 29 octobre 2011 à Malabo. © VOISHMEL/AFP
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