
Mise en place d'un réseau captage de biogaz. © Hysacam
Outres les villes de Douala et de Yaoundé, le groupe camerounais est présent dans 15 autres villes du pays, mais aussi au Liberia et au Bénin. Il est l’un des trois pionniers africains de l’environnement sélectionnés par Jeune Afrique.
Le traitement des déchets solides a beau être un marché ouvert à la concurrence au Cameroun, à chaque nouvel appel d’offres, c’est Hysacam qui l’emporte.
Le groupe fondé en 1969 par le français Granjouan puis repris en 1995 par une poignée de ses cadres règne sans partage sur ce secteur d’activité depuis cinq décennies. Ses derniers succès remontent à 2018, lorsque l’entreprise a de nouveau raflé les marchés de Yaoundé et de Douala puis, quelques mois plus tard, celui de Ngaoundéré, la grande ville du nord du pays.
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