
Le chef de l'État congolais lors d'une rencontre avec son homologue russe au Kremlin, à Moscou, le 23 mai 2019. © MARCO LONGARI/AFP
À l’heure où s’ouvre la campagne pour la présidentielle fixée au 21 mars, tout le monde ou presque s’accorde à dire que Denis Sassou Nguesso sera probablement reconduit pour un quatrième mandat. Sans que cela ne provoque de remous.
S’il est réélu, dans quelques semaines, pour le quatrième de ses mandats consécutifs, Denis Sassou Nguesso (DSN) aura alors la perspective de faire son entrée – à partir de 2024 – dans le club très restreint des chefs d’État africains ayant passé au moins quatre décennies à la tête de leur pays.
Le président congolais rejoindrait ainsi son homologue équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, qui a déjà dépassé la marque (en fonction depuis 1979), ainsi que le Camerounais Paul Biya (depuis 1982) et l’Ougandais Yoweri Museveni (depuis 1986), lui-même réélu pour un sixième mandat en janvier dernier.
Mais pour honorer ce rendez-vous avec l’histoire, Denis Sassou Nguesso, aujourd’hui âgé de 77 ans, doit remporter le prochain scrutin, si possible par « un coup K.-O. », au soir du 21 mars.
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