
Fadhel Abdelkefi, directeur général de Tunisie Valeurs, à Tunis © Nicolas FAUQUE
Les élections de 2019 l’ont confirmé. Depuis le lent délitement de Nidaa Tounes, du défunt président Béji Caïd Essebsi, les partis centristes tunisiens peinent à se rassembler. Mais les négociations reprennent.
À la faveur de la nomination de Fadhel Abdelkefi à la tête de la formation libérale Afek Tounes en décembre 2020, les discussions entre les partis centristes ont repris ces dernières semaines. Une série de réunions est prévue la semaine du 8 février, dans le but de parvenir à une union d’ici à six mois.
Face au vide laissé par leur éparpillement, des premiers pourparlers avaient été lancés en janvier 2020 entre Afek Tounes, Amal Tounes, de Salma Elloumi Rekik, Machrouu Tounes, dirigé par Mohsen Marzouk, Al Badil Ettounsi, emmené par Mehdi Jomaa, Beni Watani, créé par Saïd Aïdi et le Mouvement démocrate, piloté par Ahmed Nejib Chebbi. Seul Tahya Tounes, qui avait précipité la chute de Nidaa Tounes en obtenant le ralliement de ses députés à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), avait été exclu des négociations.
Dissolution ou front commun ?
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