
Antenne de télécomunication dans la ville de Brazzaville, 2012. © Antonin Borgeaud pour Les éditions du Jaguar
Moins d’un an après son arrivée, Yves Castanou, le DG de l’opérateur national, lance un vaste plan de « transformation ». Trop ambitieux ? L’analyse de Jeune Afrique.
Huit mois après l’arrivée aux commandes de Yves Castanou, les véhicules d’intervention de Congo Telecom (CT) affichent allègrement sur leurs portières « SPEED », la nouvelle marque commerciale des offres de l’opérateur historique. La rapidité des changements touche également le cadre de travail. Le 9 décembre, les députés congolais effectuaient une visite du siège réhabilité de l’entreprise.
Ce lifting s’inscrit dans la mue en cours chez l’opérateur national que Brazzaville a placé sur la liste des quatre entreprises publiques à introduire à la Bourse de Douala, comme l’a dévoilé Jeune Afrique Business+ au début de janvier.
L’opérateur historique revient de loin
Outre le coup de jeune des bâtiments, qui concerne également le bureau de Pointe-Noire et le centre technique d’Ouenzé, dans la banlieue de Brazzaville, l’opérateur a acquis 5 500 km de fibre optique et 27 000 modems, ainsi que
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