
Le 15 décembre dernier, le chef de l'ÉtatFélix Tshisekedi accordait une audience à Wamkele Mene, secrétaire général de la Zlecaf. © PRESIDENCE RDC
Soutenu par le chef de l’État, le projet de loi portant création de la Zone de libre-échange continentale africaine a été approuvé par l’Assemblée nationale. Mais cette ratification n’est pas sans susciter l’inquiétude de certains parlementaires, qui la jugent prématurée.
Trois-cent trente députés nationaux ont voté pour la ratification de ce projet de loi qui, une fois promulgué par le président Félix Tshisekedi après seconde lecture au Sénat, devrait permettre au pays d’ouvrir son marché à la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), laquelle ambitionne de faire de l’Afrique le plus grand marché unique au monde en réduisant les barrières douanières et en promouvant les échanges intra-africans.
En mars 2018, à l’instar de 53 autres États africains, la RDC avait signé l’accord qui doit permettre la création d’un marché continental de plus de 1,2 milliard de personnes pour un PIB cumulé de 2 500 milliards de dollars.
Les projections de la Commission économique de l’Union africaine révèlent que la mise en œuvre de la Zlecaf aura pour effets entre autres le développement des échanges intra-africans, la hausse des salaires réels des travailleurs
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