Algérie : en l’absence de Tebboune, les dossiers en souffrance s’accumulent
Réforme constitutionnelle, budget du gouvernement, situation sécuritaire… la convalescence du président atteint du Covid-19 ralentit l’activité de l’État.
Aggravation de la crise sanitaire, indicateurs économiques au rouge, situation politique bloquée et gel de plusieurs décisions afférentes à la gestion courante du pays… L’absence du président Tebboune qui boucle ce mardi 24 novembre son 27e jour d’hospitalisation en Allemagne a plongé le pays dans une quasi-paralysie.
Bulletins médicaux laconiques et rumeurs orchestrées sur un imminent retour du président au pays rappellent aux Algériens l’épisode de la vacance du pouvoir sous Abdelaziz Bouteflika, durant les années qui ont suivi son AVC (accident vasculaire cérébral). À la différence près que la crise institutionnelle actuelle est compliquée par la pandémie du Covid-19 et ses multiples conséquences.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus
- Le Niger rompt sa coopération militaire avec les États-Unis
- Les piliers d’Alain Ebobissé, bâtisseur de projets made in Africa pour Africa50
- Ali Bongo évincé du PDG : quand le parti renie celui qu’il a adoré
- Cinq intellectuels africains qui bousculent le prêt-à-penser
- Ni Chine, ni Russie : les investisseurs préférés de l’Afrique viennent d’Europe, affirme une étude