Un scope réduit et resserré : onze projets d’infrastructures sur la table et non plus 84. Dont deux qui sont déjà entièrement financés : l’interconnexion électrique Cameroun-Tchad (466 millions d’euros) et celui, plus modeste, de l’Université inter-États Cameroun-Congo (2,5 millions d’euros).
C’est un peu plus de 3 milliards d’euros que doivent maintenant mobiliser les ministres de l’Économie de la zone Cemac (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale) en vue de la table ronde qui se tiendra à Paris les 16 et 17 novembre prochains pour boucler le financement de ces projets.