Aéroport de Conakry : le chinois WIETC s’impose pour le nouveau terminal

Face au turc Summa, la candidature chinoise était la mieux-disante, a appris Jeune Afrique. Mais le chantier à 120 millions d’euros ne sera définitivement attribué qu’après de nouveaux éclairages techniques.

Appareil Transair sur le tarmac de Conakry, le 22 juillet 2019. © Aboubacar Khoraa, CC-BY-SA 4.0

Appareil Transair sur le tarmac de Conakry, le 22 juillet 2019. © Aboubacar Khoraa, CC-BY-SA 4.0

Rémy Darras © Francois Grivelet pour JA

Publié le 5 août 2020 Lecture : 2 minutes.

Après la conclusion, le 3 février, d’un nouveau contrat lui confiant une concession de vingt-cinq ans, le consortium composé d’Aéroports de Paris (Groupe ADP), du fonds Africa50 et de l’État guinéen, a sélectionné courant juillet l’entreprise qui devrait assurer les travaux de modernisation et d’extension de l’aéroport international de Conakry.

Ils étaient trois à postuler. Le français Sogea-Satom (filiale de Vinci) a vu son dossier, incomplet, disqualifié, et c’est le chinois Weihai International Economic & Technical Cooperative (WIETC) qui est sorti le mieux placé pour remporter l’appel d’offres, devant le turc Summa, déjà présent sur les plateformes de Dakar, Niamey, Khartoum, a appris Jeune Afrique.

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