Depuis la dernière édition des 500 champions africains, 60 nouveaux CEOs ont été nommés parmi les lauréats de notre classement. Certains ont hérité de conditions plutôt favorables, comme les dirigeants de Petroci, Dangote Cement, KenGen et Air Algérie. Tour d’horizon de leur profil et de ce qui les attend.
Depuis la dernière édition de notre classement des 500 champions africains, 60 nouveaux CEOs ont été nommés parmi les lauréats de notre classement. Portraits de cinq d’entre eux qui auront pour tâche de donner une nouvelle impulsion à une entreprise qui en a besoin.
Le développement des projets pétrolier Sangomar et gazier Greater Tortue Ahmeyim devait être finalisé, mais les travaux ont pris du retard. Et la situation pourrait bien se complexifier pour Dakar, alors que Moscou vient d’émettre une interdiction temporaire d’exportation de son carburant.
Le géant pétrolier lusophone répond à une demande de longue date du Fonds monétaire international, mais avance de façon très progressive pour limiter la contestation sociale.
Dakar sera membre observateur de ce club dont les membres représentent 70 % des réserves mondiales prouvées de gaz et 51 % des exportations mondiales de gaz naturel liquéfié (GNL).
Lancé il y a six ans à Dakar, l’Institut national du pétrole et du gaz (INPG) affiche des taux d’insertion records de ses étudiants. Ce succès nourrit l’essor de l’industrie locale, dont les besoins sont toutefois loin d’être satisfaits.
Une réunion ministérielle des représentants des membres du GECF s’est tenue vendredi à Alger, à la veille du sommet de ce samedi, dans un contexte de tensions persistantes sur les marchés depuis l’invasion russe de l’Ukraine, alors qu’une forte croissance de la demande est attendue cette année.
Les principaux exportateurs de gaz se sont réunis ce 1er mars à Alger dans un contexte de tensions persistantes sur les marchés depuis l’invasion russe de l’Ukraine, alors qu’une forte croissance de la demande est attendue cette année.
Après l’acquisition d’Assala Energy, Brice Clotaire Oligui Nguema confirme son ambition de voir Libreville peser davantage dans le secteur des hydrocarbures en acquérant les parts que Vivo Energy détenait dans la SGEPP.
L’État gabonais et l’américain Carlyle ont finalisé l’accord de cession des actions d’Assala Energy à l’opérateur national. Et ce, au grand dam du français Maurel et Prom.
Déterminé à marquer la souveraineté du Gabon dans le secteur pétrolier, Brice Clotaire Oligui Nguema ignore à ce jour les revendications du principal syndicat pétrolier dans le dossier Perenco. La piste de la grève illimitée n’est plus à exclure.
Soulagé par la réduction « conséquente » de son endettement, le groupe français se dit prêt à (re)négocier avec Brice Clotaire Oligui Nguema le rachat du deuxième producteur pétrolier gabonais, auquel s’est opposé le chef de la junte.
Alors qu’il essuie de nombreuses critiques à la suite des révélations de surfacturation à la Société nationale des pétroles (Sonap), Amadou Doumbouya est également soupçonné de s’être offert un luxueux bien aux États-Unis. JA lève le voile sur cette transaction.
À la tête de la Chambre africaine de l’énergie, l’avocat camerounais défend l’exploitation des ressources fossiles, fustige les pressions des pays occidentaux et évoque les priorités des producteurs africains.
Le retard pris sur la mise en production est à l’échelle de ce projet pharaonique conçu pour rompre la dépendance du Nigeria aux importations de pétrole. Visite guidée.
Avec l’entrée en production de la méga-raffinerie du tycoon nigérian Aliko Dangote, au moins trois autres installations de transformation d’or noir, jusque-là à l’arrêt, rouvriront leurs portes en 2024.
Shell a vendu sa filiale onshore pour 2,4 milliards de dollars. Le nouveau propriétaire s’appelle Renaissance, un consortium d’hommes d’affaires Nigérians, mais aussi un non-Nigérian et une entité ad hoc.
Le conseiller spécial du chef de la transition au Gabon milite pour la nationalisation des actifs du producteur pétrolier Assala Energy. Son parcours d’un régime à l’autre ne laisse pas indifférent.
Alors que des révélations de surfacturation et de corruption frappent la Société nationale des pétroles (Sonap), Jeune Afrique dévoile les coulisses d’un dossier qui secoue la présidence depuis plusieurs mois.
La filiale marocaine du géant tricolore a traversé une année difficile, avec des résultats nettement en baisse à cause d’une lourde amende infligée par le régulateur du royaume.
Face aux multiples propositions de réduction de leurs quotas de production, les pays africains peinent à faire entendre leur voix. Certains finissent par claquer la porte du cartel.
En marge du Forum économique mondial de Davos, l’ONG a publié son rapport annuel sur les inégalités. La manière dont le milliardaire nigérian a bâti sa fortune est pointée du doigt.
Alors que les premières cargaisons de carburant venues d’Abidjan et de Freetown devaient arriver incessament à Conakry, l’économie fait face à une hausse des prix consécutive à la raréfaction de l’essence.
Les deux groupes pétroliers britanniques ont signé un contrat de plusieurs millions de dollars pour la gestion et la maintenance des infrastructures du projet Grand-Tortue Ahmeyim (GTA).
Un mouvement de protestation bloque la production sur le champ al-Charara, un des gisements les plus importants du pays. Les blocages de sites et terminaux pétroliers ont été fréquents ces dernières années.
Connexions politiques, conseillers, fidèles collaborateurs et nouveaux piliers… Qui sont les relais avec lesquels le dirigeant, à la tête du géant pétro-gazier français depuis 2014, pilote la stratégie africaine du groupe ?