Depuis 1979, il est président de l’Angola et à la tête du parti au pouvoir, le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA). Né en 1942 à Sambizanga, dans le nord du pays, il obtient un diplôme d’ingénieur de pétrole en URSS. C’est en 1975 qu’il devient ministre des Relations extérieures, dès l’indépendance du pays, puis adjoint au Premier ministre en 1978. Il accède au pouvoir après la mort du d’Agostinho Neto.
Le géant pétrolier lusophone répond à une demande de longue date du Fonds monétaire international, mais avance de façon très progressive pour limiter la contestation sociale.
Alors que la justice angolaise a resserré en début d’année son étau sur la fille de l’ancien président dos Santos, celle-ci réplique dans la presse portugaise.
Les proches et anciens bras droits de l’ex-président José Eduardo dos Santos, dont sa fille Isabel, sont plus que jamais dans le viseur de la justice angolaise. Mais ils n’ont pas dit leur dernier mot.
Suspectés d’avoir versé des pots-de-vin en Angola, le géant genevois du négoce pétrolier et trois personnes physiques font l’objet d’une plainte devant le tribunal pénal fédéral suisse.
Après la bataille des élections générales d’août 2022, qui s’est soldée par la victoire de João Lourenço, son opposant en chef, le patron de l’Unita, brandit la menace de la destitution.
La procédure de destitution déposée mi-août contre le président angolais a très peu de chances d’aboutir, mais peut-être le poussera-t-elle à revoir sa politique.
La fille de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos aurait détourné plus de 52 millions d’euros de la compagnie pétrolière Sonangol, selon la justice néerlandaise.
Le gouverneur de la Banque centrale angolaise, réputé pour sa compétence, a été nommé, le 8 juin, ministre d’État chargé de la Coordination économique. Il devra notamment mettre fin aux subventions sur les carburants, une réforme délicate.
Autrefois aux mains des proches du clan de l’ancien président dos Santos, le secteur de la grande distribution est en pleine recomposition. Et la compétition bat son plein.
Le premier opérateur télécoms d’Angola, autrefois dirigé par la femme d’affaires et fille de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos, réclame le remboursement de plusieurs centaines de millions de dollars de prêts devant la justice anglaise.
Le mastodonte de l’or noir angolais vient de débourser 40 millions de dollars pour soutenir un projet de raffinerie qui suscite de nombreuses questions.
Réalisation phare de l’ère dos Santos, la ville nouvelle, située en périphérie de Luanda, n’a pas tenu toutes ses promesses. Pourtant, les projets de ce type se multiplient, encouragés par le président João Lourenço. Reportage.
Et si les poursuites judiciaires engagées dans l’Hexagone contre de hauts responsables politiques du continent avaient contribué à nourrir le ressentiment de certains Africains à l’endroit des Français ?
L’ambitieux programme de privatisation engagé par le président angolais, João Lourenço, depuis son arrivée au pouvoir, en 2017, connaît des hauts et des bas. Point d’étape.
L’annonce d’un deuxieme gel des actifs de la femme d’affaires angolaise est la dernière illustration de la rude bataille à l’œuvre entre le camp dos Santos et la présidence Lourenço.
Les autorités de cet archipel du golfe de Guinée ont annoncé fin novembre avoir déjoué un putsch. Parmi les personnes accusées d’être impliquées se trouvent des anciens de ce bataillon de l’armée sud-africaine actif sous l’apartheid.
L’héritière Dos Santos riposte au mandat d’arrêt international émis à son encontre en s’allouant les services d’un cabinet de conseil américain pour plaider sa cause à la Maison Blanche.
Alors que la justice angolaise a demandé l’émission d’un mandat d’arrêt contre la fille de l’ancien président dos Santos, cette dernière n’a pas dit son dernier mot.
Interpol a émis le 18 novembre un mandat d’arrêt contre la fille de l’ancien président angolais, décédé en juillet. Une information démentie par les avocats d’Isabel dos Santos.
Le pays a rendu hommage, le dimanche 28 août, à son ancien président en organisant des obsèques d’État. Une cérémonie qui intervient en pleines tensions politiques entre le MPLA et l’Unita, après la tenue d’élections générales serrées le 24 août.
Depuis le décès de l’ancien chef de l’État le 8 juillet à Barcelone, en Espagne, les membres de sa famille se livrent une bataille juridique pour déterminer où il sera inhumé. Le tribunal de Barcelone a tranché, ce mercredi 17 août, en faveur de la dernière épouse du défunt, dont la dépouille sera rapatriée en Angola.
« Dieu, le Congo et lui » (3/4). Dans les années 2010, le milliardaire israélien est devenu un acteur incontournable du secteur minier. Pourtant, au cours du second mandat de Joseph Kabila, son étoile pâlit. Les rapports dénonçant ses pratiques et les pertes qu’elles entraîneraient pour la RDC s’accumulent.
Le président angolais, quasi assuré d’être réélu le 24 août, est confronté aux divisions de son propre camp et à une opposition qui s’enhardit. Sa priorité : se renouveler pour mieux durer.
Les obsèques de l’ancien président José Eduardo dos Santos, décédé le 8 juillet à Barcelone, font l’objet de discussions tendues entre l’exécutif angolais et la famille du défunt.
L’ancien président angolais, décédé à Barcelone après dix jours en soins intensifs, laisse un camp dos Santos fragilisé et un parti au pouvoir en proie aux tensions.
À 79 ans, l’ancien chef de l’État angolais était entre « la vie et la mort » ces derniers jours et avait été hospitalisé en soins intensifs en Espagne. Il avait dirigé son pays entre 1979 et 2017.
À 79 ans, l’ex-chef de l’État est hospitalisé en soins intensifs à Barcelone en Espagne. Il a dirigé son pays durant trente-huit ans, entre 1979 et 2017.
Le gouvernement angolais dépense environ 4 millions de dollars par an auprès d’un cabinet de lobbying chargé d’obtenir le soutien des États-Unis à ses réformes financières.
Après deux ans d’absence, l’ancien président est de retour à Luanda alors que son parti, le MPLA, est plus divisé que jamais. Le signe d’une trêve avec son successeur, João Lourenço ?