Maroc : Mounir Kejji, 42 ans, le désenclavement rural

ProfilAuteur_NadiaLamlili

Publié le 17 septembre 2014 Lecture : 1 minute.

Né à Goulmima, non loin d’Errachidia, il a été tour à tour militant universitaire, associatif et politique. Aujourd’hui, Mounir Kejji veut se consacrer au désenclavement des régions berbères.

La question amazigh ne se limite pas à la reconnaissance d’une langue. "L’amazighité est un hôpital, une route et une école à construire", explique-t-il. Et de parcourir les montagnes de l’Atlas pour identifier les besoins de ces villages dont on ne parle qu’en hiver, quand des bébés meurent de froid. Mais l’aide humanitaire – cartons de vêtements et de médicaments – qu’il y achemine ne changera pas le sort de la population locale si l’État ne joue pas son rôle.

la suite après cette publicité

Dans la région du Sud-Est, classée comme la plus pauvre du Maroc, il y a des familles qui vivent avec à peine 30 euros par mois et… la baraka !

Passez votre souris sur les boutons puis cliquez sur le nom des personnalités pour lire leurs portraits.

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Contenus partenaires