Francophonie : candidats au poste de secrétaire général, leurs atouts et leurs faiblesses
Dimanche à Dakar, les chefs d’États membres de la Francophonie éliront le nouveau secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Présentation des points forts et faibles des cinq prétendants.
Dans l’histoire de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), la course à la succession à Abdou Diouf au poste de secrétaire général, est une première. Pendant des mois, les candidatures (parfois éphémères) se sont succédées. Certains prétendants ont mené des campagnes très intenses, à l’image de la canadienne Michaëlle Jean (CN), qui a voyagé sur les cinq continents.
>> Lire aussi : OIF: qui pour succéder à Abdou Diouf ?
Michaëlle Jean (Canada)
Passez la souris sur le pictogramme vert (à gauche) pour faire apparaître les points forts, sur le rouge pour les points faibles.
>> Lire aussi : Michaëlle Jean : "Ma candidature à la Francophonie est le résultat d’une écoute"
Jean-Claude de l’Estrac (Maurice)
Passez la souris sur le pictogramme vert (à gauche) pour faire apparaître les points forts, sur le rouge pour les points faibles.
>> Lire aussi : Jean Claude de l’Estrac : "L’OIF a besoin de concret"
Pierre Buyoya (Burundi)
Passez la souris sur le pictogramme vert (à gauche) pour faire apparaître les points forts, sur le rouge pour les points faibles.
>> Lire aussi : Pierre Buyoya : "Je me considère comme un réformateur"
Henri Lopes (Congo-Brazzaville)
Passez la souris sur le pictogramme vert (à gauche) pour faire apparaître les points forts, sur le rouge pour les points faibles.
>> Lire aussi : Henri Lopes : "Les chefs d’État savent qui je suis"
Agustin Nze Nfumu (Guinée équatoriale)
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